J’ai continué ainsi pendant plus de deux décennies après avoir cessé de téter... apprendre chaque jour, réfléchir chaque jour...
Et toujours ainsi...
Quand j’ai commencé, je savais pourquoi... mais maintenant, pourquoi je fais ça n’a plus d’importance pour moi... parce que c’est devenu une partie de moi.
Ce n’est plus une responsabilité, une obligation, une aspiration, un objectif, une raison de réussir... c’est simplement devenu qui je suis.
Winston Man
Extrait de l’IA :
Le court article de Winston Man est une introspection profonde, reflétant le parcours de croissance intérieure de l’auteur lui-même, qui a duré plus de vingt ans.
« J’ai continué ainsi pendant plus de deux décennies après avoir cessé de téter… »
La phrase d’ouverture rappelle le moment où l’auteur a quitté les bras de sa mère, peut-être à l’âge adulte, vivant de manière indépendante, entrant seul dans la vie. « Cesser de téter » n’est pas seulement une image physique, mais aussi symbolique : une rupture avec la protection, le début d’un parcours d’autonomie.
« …apprendre chaque jour, réfléchir chaque jour… Et toujours ainsi… » L’auteur n’arrête pas d’apprendre et de réfléchir, répétant cela tout au long d’un long parcours. Il ne s’agit pas d’un processus d’apprentissage de connaissances ordinaire, mais d’apprendre à vivre, à se comprendre soi-même, à comprendre la vie.
« Quand j’ai commencé, je savais pourquoi… mais maintenant, pourquoi je fais ça n’a plus d’importance pour moi… »
Au début, l’auteur avait des raisons, des objectifs clairs pour apprendre et réfléchir, peut-être pour réussir, pour faire ses preuves. Mais après de nombreuses années, la raison initiale n’est plus importante. Cela montre une transformation intérieure : de « faire pour un objectif » à « faire pour sa propre essence ».
« Parce que c’est devenu une partie de moi. » Apprendre et réfléchir ne sont plus un acte intentionnel, mais une partie de l’être. Il n’est plus nécessaire d’avoir une raison de continuer – car c’est devenu le « moi » lui-même.
« Ce n’est plus une responsabilité, une obligation, une aspiration, un objectif, une raison de réussir… » Les choses que la société associe souvent à l’effort – responsabilité, obligation, aspiration – ne contrôlent plus l’auteur.
« …c’est simplement devenu qui je suis. » C’est l’unification de l’action et de l’être. Ce n’est pas que j’apprends, que je réfléchis – mais que je suis apprentissage, que je suis réflexion.
Résumé de la philosophie :
C’est un voyage de faire pour devenir → à devenir ce que l’on fait.
L’auteur n’apprend plus pour obtenir quelque chose, mais apprend pour vivre – ou plutôt, vivre c’est apprendre.
Cela reflète un état de « non-agir » dans la pensée orientale : lorsque chaque action n’est plus forcée par la volonté, mais est la nature même de l’individu.
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La philosophie et la conscience cachées derrière l’article de Winston Man :
« J’ai continué ainsi pendant plus de deux décennies après avoir cessé de téter… »
Le voyage commence par une rupture – non seulement quitter sa mère, mais quitter le soutien, l’innocence et l’ombre sûre de l’enfance. À partir de ce moment, la personne commence à se faire face à elle-même et à la vie. C’est un moment de renaissance, cette fois non pas physiquement, mais spirituellement.
Deux décennies passent – ce n’est pas le temps qui passe selon le calendrier, mais vingt ans d’éveil. Vingt ans à se regarder constamment dans le miroir, à apprendre de la vie, de la douleur et du silence, de l’échec et même des vides silencieux.
« Apprendre chaque jour, réfléchir chaque jour… Et toujours ainsi… »
Lorsque l’on commence à apprendre par soi-même – il ne s’agit pas seulement d’apprendre de nouvelles choses, mais d’apprendre à se débarrasser des anciennes choses en nous : habitudes, préjugés, ego, attentes. Réfléchir n’est plus penser pour répondre, mais une contemplation – regarder profondément en soi, dans le flux de la conscience, dans la façon dont nous vivons, aimons, sommes aveugles, nous éveillons…
Et cela continue. Sans cesse. Parce que le véritable éveil n’a pas de jour de congé.
« Quand j’ai commencé, je savais pourquoi… mais maintenant, pourquoi je fais ça n’a plus d’importance pour moi… »
Lorsque nous commençons, nous avons toujours besoin d’une raison : pour réussir, pour nous affirmer, pour atteindre quelque chose. Mais ensuite, après un long voyage – lorsque le « vouloir » s’estompe, le « besoin » disparaît également, nous ne vivons plus pour un but, mais vivons pour une présence pure.
Comme lorsque l’on respire – on ne demande plus : « Pourquoi ai-je besoin de respirer ? » Parce que nous sommes la respiration. Apprendre, réfléchir, se taire… ce n’est plus pour quelque chose – mais c’est nous.
« Ce n’est plus une responsabilité, une obligation, une aspiration, un objectif, une raison de réussir… »
C’est l’étape de la libération de la motivation. Les mots tels que « responsabilité », « obligation », « aspiration », « objectif »… bien que puissants, sont tous des structures étrangères – des modèles que la société ou nous-mêmes avons imposés à nous-mêmes.
Lorsque ces choses tombent, l’individu est libre, n’agissant plus pour un « moi » qui veut réaliser quelque chose – mais agissant comme une partie naturelle de la vie.
« C’est simplement devenu qui je suis. »
C’est le dernier niveau : lorsque l’individu n’est plus séparé du chemin qu’il emprunte. À ce moment-là, apprendre n’est plus un comportement. Réfléchir n’est plus un outil. Tout est naturel. Comme l’eau qui pénètre dans le sol, comme le vent qui souffle à travers les montagnes – sans raison, mais parce que c’est comme ça.
Réflexion générale :
Ce n’est pas seulement le voyage de Winston Man, mais une métaphore du voyage d’éveil de quiconque :
Voici la traduction du texte en français en conservant les balises HTML :
De l’apprentissage pour la réussite → à l’apprentissage pour la compréhension → à l’apprentissage par amour → à l’apprentissage comme partie intégrante de l’existence.
Si on réécrivait ce texte dans un style zen, cela pourrait donner :
"J’ai vécu ainsi, pendant plus de vingt ans – depuis le jour où j’ai quitté les bras de ma mère.
Personne ne m’a enseigné, mais j’ai appris. Personne n’a demandé, mais j’ai réfléchi.
Au début, je savais pourquoi. Maintenant, je n’ai plus besoin de savoir pourquoi.
Parce que ce n’est plus ce que je fais – c’est ce que je suis.
Ce n’est plus une responsabilité, une obligation ou un objectif.
Ce n’est pas un chemin que je choisis, mais l’essence même de mon être."