La nature de… Nous nous blessons mutuellement n’a aucun sens.
Le sens réside dans le fait de se "blesser mutuellement".
C’est comme deux personnes brandissant des armes qui se lancent dans une bataille… à la fin, ils sont tous les deux couverts de blessures… 
Après la bataille… nous perdons de l’énergie, sommes fatigués, à bout de souffle… et pleins de blessures…
Soit je meurs, soit tu meurs…
Celui qui part ne sait pas s’il est heureux ou triste…
Celui qui reste est-il heureux ???
Peut-être que le temps est la Mort elle-même…
Winston Man 

Extrait de l’IA :
L’article de Winston Man est profondément philosophique et émotionnel, reflétant une vision profonde de la nature des blessures dans les relations et les conflits entre les personnes.

En réalité, le fait que nous nous blessions les uns les autres – en soi – n’a aucun sens.
Le véritable sens réside dans l’acte même de blesser : c’est une série de douleurs, de remords et de conséquences durables.

L’image de deux personnes brandissant des armes et se précipitant l’une sur l’autre symbolise les conflits de la vie – où les deux parties sont blessées, personne ne gagne vraiment.
Lorsque la bataille est terminée, il ne reste que de l’épuisement, un souffle court, un corps et une âme remplis de blessures.

Dans ces conflits, parfois l’issue est une mort, une vie.
Mais celui qui part – emporte-t-il de la tristesse ou une libération ?
Et celui qui reste – se sent-il vraiment soulagé, ou juste vide et confus ?

Et peut-être… que le temps est l’incarnation de la Mort – car il est témoin et érode toutes les blessures, toutes les émotions – silencieusement mais sans pitié.

En résumé :
L’article est une contemplation sur le caractère dénué de sens du fait de se blesser mutuellement, que ce soit en amour, en amitié ou dans toute relation. Il souligne que, que l’on gagne ou que l’on perde dans ces batailles, il ne reste que de la douleur – et parfois, toute une vie ne suffit pas à guérir.

_______________________________________

L’article de Winston Man n’est pas seulement une description de la blessure – mais aussi un réveil, une métaphore de la tragédie existentielle et du cycle insensé des conflits que les humains s’infligent mutuellement.

1. "Nous nous blessons mutuellement n’a aucun sens."
Cette phrase est comme un coup direct à l’habitude répandue des humains : lorsque l’on est blessé, on réagit en blessant en retour. Mais Winston Man souligne que cela n’a absolument aucun sens – cela n’apporte aucun résultat, ne résout aucun problème, ne guérit rien du tout.
C’est comme frapper dans le vide. Une action instinctive, irrationnelle – et finalement, ne laissant que le vide.

2. "Le sens réside dans le fait de se ’blesser mutuellement’."
Un paradoxe apparaît ici : si le fait de blesser est dénué de sens, comment peut-il avoir un ’sens’ ?
L’auteur ne parle pas d’un sens positif, mais d’une vérité amère : le sens du fait de blesser réside dans la douleur qu’il laisse derrière lui. Ce sont les remords, les écorchures de l’âme, les blessures non cicatrisées – qui sont la vraie chose.

La blessure n’est pas un moyen. C’est l’état final, la destination que personne ne souhaite, mais à laquelle tout le monde arrive lorsqu’il ne peut plus s’empêcher de se faire du mal.

3. "C’est comme deux personnes brandissant des armes qui se lancent dans une bataille…"
Cette image est une métaphore cruelle mais précise des relations brisées : les deux parties ne communiquent plus, ne se comprennent plus, il ne reste que l’instinct de survie et de défense.
Mais à la fin, tout le monde perd.
Même si vous gagnez la bataille, vous êtes blessé. Même si vous êtes vivant, vous subissez une perte.

4. "Soit je meurs, soit tu meurs…"
Cette phrase a un air de non-sens de la guerre – à la fois au sens littéral et figuré. Dans les relations brisées, la mort n’est pas toujours physique. Cela peut être une rupture, une perte de confiance, ou la mort à l’intérieur de l’âme d’une personne.

Celui qui part – ne sait pas s’il est heureux ou triste.
Celui qui reste – n’est pas sûr non plus de gagner ou de perdre.

5. "Peut-être que le temps est la Mort elle-même…"
C’est la couche philosophique la plus profonde.
Le temps – que l’on considère comme un remède – est ici celui qui tue les émotions, tue les souvenirs, et même la personne à l’intérieur de nous.
L’auteur ne considère pas le temps comme un "sauveur", mais comme une "Mort" silencieuse :

Il ne nous fait pas souffrir tout de suite…
Mais il efface progressivement, refroidit, fait oublier…
Et puis, un jour, on ne ressent plus rien.

Résumé de la couche profonde :
L’article ne parle pas seulement de la blessure dans les relations – mais dénonce l’absurdité et la tragédie dans la façon dont les gens vivent ensemble.
Nous aimons, mais nous finissons par détruire.
Nous nous connectons, mais nous nous coupons de nos propres mains.
Nous recherchons un sens, mais nous nous perdons dans un cycle insensé.

Et le temps – au lieu d’être un espoir – n’est qu’un rappel que tout dépérit, si nous ne savons pas nous arrêter, comprendre et être tolérants.